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  • Par une belle journée de printemps...

    Sur la musique de "mon vieux" de Daniel Guichard, chanté par mes trois soeurs. Ne manquait que mon frère pour compléter ce tableau d'émotion, absent ce soir là pour des raisons professionnelles. Tu m'as manqué frangin !

     

    "Par une belle journée de printemps

    Il y a de c’la 50 ans

    Est née une jolie blondinette

    Sœurette

     

    Plein de malice au fond des yeux

    De jolies tresses dans les cheveux

    C’était un joli petit cœur

    P’tite sœur

     

    Bien sage, elle jouait à la maîtresse

    Mettait des tapes sur les fesses

    Aux poupées indisciplinées

    Effrontées

     

    Envolé le temps de l’enfance

    Pour faire place à l’adolescence

    Le temps où l’on conte fleurette

    Sœurette

     

    Du sacré cœur à st Michel,

    Elle a joué la super rebelle

    Puis s’est tournée vers le dessin

    Malin

     

    Et puis les années ont passé

    Est arrivée sa petite fée

    Et Papa pierre les a comblées

    De cet amour sacré

     

    Après Médéric, boite à fric

    Elle crée une ligne de vêtements chics

    Pour ces enfants tellement mignons

    Y’a pas d’raison

     

    Mais la petite fée a choisi

    D’aller vivre au paradis

    D’où elle protège son amour

    Pour toujours

     

    De tout là-haut, sur son nuage

    Insuffle la force et le courage 

    De faire vivre l’autre maison

    Champion

     

    De beaux meubles et de belles étoffes 

    Et surtout l’aide de Jean Christophe 

    Ils en ont fait un nid douillet

    Coquet

     

    Et ici, maison de Fiona

    Nous sommes tous réunis pour toi

    Pour t’offrir une soirée d’amour

    Patoune

     

    Bon anniversaire petite sœur

    Nous te souhaitons plein de bonheur

    C’est le message de fée clochette

    Sœurette"

    Je vous passe les photos où je verse quelques larmes...juste les 4 frangines les yeux mouillés.

    Je vous aime mes soeurs, très très fort !

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  • Une quinqua qui claque

    De Marie Decker :

     

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    "Discours sans quies à une cocotte quinqua qui claque,
    Renouant avec un plaisir fou non feint avec la jongle maniaque des mots en délire je me prête au jeu du discours de début de soirée avant que vos oreilles et surtout les neurones qui s’y rattachent ne baignent avec gourmandise dans le plaisir organisé de main de maître par notre hôtesse et néanmoins mais en plus invitée d’honneur.
    Ma Douce, Patoune, Patounette, Pat Geekette, Patinette de la Cèze en un mot Patricia, oui toi la jeunette au grand sourire de soleil, boucle d’or de la garrigue, randonneuse du monde et de la voûte étoilée, toi qui parle avec tes yeux, tes mains, et surtout ton cœur, nous sommes réunis ici ce soir dans ce lieu que seul un esprit doué pour le bonheur tel le tien pouvait inventer, nous sommes donc réunis disais-je pour célébrer joyeusement ton adhésion au club des quinquas qui claquent.
    Qu’est-ce qu’une quinqua qui claque ? Quittez vos quies et esgourdez plutôt :
    Une quinqua qui claque pour ceux qui ne sont pas presbytes c’est une cocotte qui a le look d’une quadra primo adhérente de
    loin comme de près, de celles dont la vision procure un plaisir proportionnel au nombre des ans et des fraises tagada.
    Mais mais mais, une quinqua qui claque, en plus de ce look à faire chavirer tous les capitaines dans l’océan de son regard elle a, ou plutôt elle est un esprit libre. En prose ou en vers mais de bon droit la quinqua qui claque n’a pas sa langue dans sa poche, droite dans les bottes de sa tête, prête à dégainer les pieds de nez demain et aux fesses dès ce jour, elle va à l’essentiel et si les sens, ciel lui promettent, le cœur accroché à nos fenêtres avec ou sans pomme, ou devant un verre elle nous pêche en ligne et nous propose quelques réflexions que seules celles qui ont appris à se dire en faisant le grand écart de la tête à la bouche en passant par le coeur, savent écrire.
    Vous l’aurez compris la quinqua qui claque a parfois le corps qui délire, c’est qu’elle a plusieurs cœurs, dans les pieds, la tête, au ventre, au bord des lèvres, à l’ouvrage pour fabriquer des étoiles et nous en mettre plein les yeux, des étoiles …
    Sans nul doute tu maîtrises chacun de ces critères et nous pouvons te décerner émus et admiratifs le grade de quinqua qui claque !
    Puisse ce titre être honoré de t’accueillir dans ses rangs et que tu continues à nous montrer les étoiles en général et une en particulier qui allume joie dans nos cœurs pour éloigner les tracas fâcheux et les cataplasmes ayurvédiques rivers bien sûr.
    Voilà je vais ranger cette feuille dans ma valise et faire un tour du côté de chez Toi pour te coller un bécot qui claque autant que Gilbert et glisser au cœur de tes oreilles un chaleureux et grand merci…
    Bon anniversaire ma Douce, tu verras c’est si bon d’avoir quinze ans.";)

     

  • Un beau voyage

     

    Je reviens d'un beau voyage, vous savez ceux que l'on prépare avec impatience, que l'on vit avec intensité et que l'on revit les jours suivants, encore et encore, juste dans sa tête mais avec tellement de joie et bonheur.

     

    Je reviens d'un merveilleux voyage, un voyage hors du temps, que j'ai eu le bonheur de vivre avec ma famille et mes amis. Un voyage où seul compte l'instant présent.

    Un voyage d'émotion, de rire, de joie, de partage, d'apaisement, de réconfort, de Bonheur avec un grand B et duquel je reviens éblouie et gonflée à bloc de la bonne énergie pour les 50 ans à venir !

     


    Merci à toi ma douce pour ton discours de début de soirée, clin d'oeil à des moments vécus ensemble que rien ni les ans n'altéreront jamais.
    Merci à vous mes frangines pour votre "chanson émotion" dans laquelle un message de ma fée clochette m'attendait.

     

    Et, merci à vous tous mes amis, merci à vous toute ma douce famille, pour votre belle présence, pour vos cadeaux qui m'ont plus que comblée. Je vous porte là, dans mon coeur.

     

     

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  • L'objet

     

    Posée sur un meuble,
    Je te regarde.
    Je ne sais si c’est l’objet que je vois ou si c’est toi.
    C’est étrange.
    Je te touche, je te secoue.
    Je te repose.
    Je te reprends dans mes mains et je passe mes doigts sur ton contour.
    Je voudrais pouvoir sortir chaque miette de tes cendres pour reconstituer ton corps.
    Pour te sentir là, en chair et en os !
    Mais nous ne sommes pas dans un film, nous sommes dans la vraie vie.
    Celle où les morts sont morts et ne reviennent pas à la vie.
    Celle où les morts ont leur propre vie que nous, les vivants, nous appelons la mort.
    Celle où les morts sont débarrassés de leur carcasse pour ne garder que l’essentiel, ce qui fait de nous des êtres uniques : l’âme.
    Alors je m’amuse à t’imaginer là, invisible à mon œil, à côté de moi, m’observant regarder l’objet.
    Invisible à mon œil, visible à mon cœur.
    Car tu es là, je le sais, je le sens, je le vis.
    Tu es là comme toutes nos étoiles qui éclairent nos ténèbres, nous rassurent  et réchauffent nos cœurs meurtris, tu es là, ici, là-bas, ailleurs. Mais tu es là, je le sais, détachée de ce corps qui en fait n’avait aucune importance si ce n’est la souffrance qu’il a pu parfois, souvent, te faire subir.
    Ou encore la fierté que tu ressentais quand on te disait que tu étais belle.
    Mais aucune importance, tu le savais. Au-delà du corps, nous sommes vraiment…
    Tu es là, libre et toujours vivante.
    Et je t’aime comme toujours…

     

     

     

  • Demain...

    Demain dès l’aube, j’irai te chercher pour t’emmener avec moi et ne plus jamais te quitter…

     

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     Demain.... dès l'aube

    "Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
    Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
    J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
    Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

    Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
    Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
    Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
    Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

    Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
    Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
    Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
    Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur."

    Victor Hugo