De toutes les mamans que nous sommes ou avons été. De toutes les mamans de la terre. Suivant le pays, le jour de cette fête diffère mais le mois de mai reste le plus souvent celui de la fête des mamans à travers le monde.
Dans certains pays (en Afrique du Sud par exemple), lorsque la maman n’est plus là, le jeune (ou moins jeune) choisit une personne qui lui est proche afin de lui célébrer cette fête.
Drôle de coutume…
Cette fête n’a plus le même sens pour moi si ce n’est l’amour que je porte à ma propre mère, chaque jour qui passe depuis ma naissance et ce jusqu’à la fin de mes jours et encore au delà. Et à mon enfant, à chaque seconde, depuis ma grossesse et ce jusqu’à la fin de mes jours et encore au delà. Mais je ne crois pas pouvoir un jour, revivre un dernier dimanche de mai, en véritable jour de la fête des mères. Tout comme Noël. Des saveurs qui ne sont plus que de lointains souvenirs, si palpables malgré tout à certains moments. Je ferme les yeux et je revois Fiona m’offrant un pendentif en forme de marguerite, un parfum ou tout autre présent, toujours accompagné d’un petit mot d’Amour qu’elle s’était efforcée de préparer longuement avec Pierre ou cop’s Michèle. J’ouvre les yeux et les images s’envolent laissant place à un vide permanent avec lequel j’ai appris à vivre le plus sereinement possible au fil des mois.
Dimanche, je sais que cette journée sera douloureuse pour beaucoup d’entre vous. Et pour celles pour lesquelles cette date coïncide avec un effroyable jour. Je pense fort à toi ma Lolotte et je sais que Kévin sera là, si près de toi. Comme chaque jour et peut être encore davantage ce dimanche.
Je vous embrasse toutes et vous serre fort contre moi.