Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Dimanche c’est la fête des mères

    De toutes les mamans que nous sommes ou avons été. De toutes les mamans de la terre. Suivant le pays, le jour de cette fête diffère mais le mois de mai reste le plus souvent celui de la fête des mamans à travers le monde.

    Dans certains pays (en Afrique du Sud par exemple), lorsque la maman n’est plus là, le jeune (ou moins jeune) choisit une personne qui lui est proche afin de lui célébrer cette fête.
    Drôle de coutume…

    Cette fête n’a plus le même sens pour moi si ce n’est l’amour que je porte à ma propre mère, chaque jour qui passe depuis ma naissance et ce jusqu’à la fin de mes jours et encore au delà. Et à mon enfant, à chaque seconde, depuis ma grossesse et ce jusqu’à la fin de mes jours et encore au delà. Mais je ne crois pas pouvoir un jour, revivre un dernier dimanche de mai, en véritable jour de la fête des mères. Tout comme Noël. Des saveurs qui ne sont plus que de lointains souvenirs, si palpables malgré tout à certains moments. Je ferme les yeux et je revois Fiona m’offrant un pendentif en forme de marguerite, un parfum ou tout autre présent, toujours accompagné d’un petit mot d’Amour qu’elle s’était efforcée de préparer longuement avec Pierre ou cop’s Michèle. J’ouvre les yeux et les images s’envolent laissant place à un vide permanent avec lequel j’ai appris à vivre le plus sereinement possible au fil des mois.

    Dimanche, je sais que cette journée sera douloureuse pour beaucoup d’entre vous. Et pour celles pour lesquelles cette date coïncide avec un effroyable jour. Je pense fort à toi ma Lolotte et je sais que Kévin sera là, si près de toi. Comme chaque jour et peut être encore davantage ce dimanche.

    Je vous embrasse toutes et vous serre fort contre moi.

     

     

  • Serge Van Brakel

    Paris, lundi 16 mai 2011 au soir, au théatre du gymnase.
    One man Show de SERGE VAN BRAKEL : "ENTRE NOUS".

    J'ai ri, j'ai été surprise, j'ai écouté, bien entendu, j'ai eu les larmes aux yeux, j'ai rigolé de bon coeur,
    j'ai été émue, je me suis évadée en Afrique, dans les étoiles, dans mes rêves, j'ai réfléchi, j'ai ri de plus belle,
    j'ai applaudi, encore applaudi...
    Bravo l'artiste !!
    Non seulement tu es un homme touchant, sympathique, intègre, tu es également un homme atypique
    sans aucune allusion à ton label (clin d'oeil au spectacle), mais te voilà artiste à présent !
    Ou certainement l'as tu été depuis toujours.
    Tu es un homme qui va au bout de ses rêves... C'est énorme !

    Serge 4.JPG

     

     

     

    J'ouvre une parenthèse.
    Je me rappelle ce jour de 2004 où nous nous sommes rencontrés pour la première fois à La Défense.
    Et les projets auxquels tu m'as fait participer.
    Puis le départ de ma miss et ce nouveau projet de défilé de mode dont tu as eu la gentillesse de me confier une partie
    et qui m'a aidée à garder la tête hors de l'eau.
    J'ai beaucoup appris à ton contact, je suis une autre, bien plus sûre d'elle. C'est je crois, en partie bien à toi que je le dois.
    Alors, même si je n'en parle pas, même si je ne le dis pas, tu es un être cher à mon coeur. Et la jolie femme à l'imper rouge aussi :)))
    Je ferme la parenthèse.

    Vous tous, si vous avez envie de vivre un moment de détente, de sourire, de bonne humeur, un moment de bonheur dont vous ressortirez boostés, n'hésitez pas, prenez vos places à son prochain passage dans les environs...
    Vous en ressortirez certainement différents, et vous vous direz, entre autre, "Et moi, quels sont mes rêves ?".

  • En mai fais ce qu'il te plait...

     

    Je crois que chaque printemps ranime en moi le manque de ma fille.
    Un mélange de bonheur et de tristesse.
    Le bonheur de simplement regarder cette nature qui s’éveille.
    La tristesse de ne plus pouvoir profiter avec Fiona de ces instants de joie que cette belle saison nous procure.
    Ma marguerite n’est plus.

    Le printemps ranime en moi depuis toujours, cette crainte que tout s’arrête. Que la vie cesse subitement. Que toutes ces beautés qui m’entourent et que je ne me lasse jamais de regarder s’envolent. Que tous ces instants privilégiés partagés avec ceux que j’aime n’existent plus.

    Parce que le printemps a toujours été un grand bonheur pour moi, il me fait prendre conscience de la fragilité de la vie. Alors, cette petite tristesse au fond de moi pointe le bout de son nez quelques minutes et s’en va…

    En mai, fait ce qu’il te plait. Pour faire suite, sans le vouloir vraiment, à la note de Marie que je viens d’avoir au téléphone ce matin (un instant privilégié comme je les aime…) http://lesfemmesendisent.blogs-handicap.com/archive/2011/04/10/avril-ne-decouvre-pas-ton-fil.html.

    Alors en mai, envoyons balader nos tristes pensées, chassons nos fantômes, tordons le cou aux idées préconçues, faisons du tri sélectif (je ne parle pas d’ordures ménagères… J), débarrassons nous des encombrants. Délestons nous de ce qui nous congestionne la tête et le coeur.

    Et attaquons l’été avec grande grande légèreté…